Parasite

Les parasites sont des organismes qui vivent au détriment d’autres organismes, appelés hôtes. Par exemple, les virus, les tiques et les vers solitaires sont des parasites dont un des hôtes possible est l’humain. Chez les insectes, on retrouve également (entre autres) de nombreux virus, champignons, mais aussi des acariens et des insectes parasites d’autres insectes.


  • Essaimage des fourmis Lasius umbratus

    Certaines reines fourmis ne fondent pas leur colonie toute seule, mais parasitent d’autres colonies de fourmis dont elles remplacent la reine. C’est le cas de certaines fourmis du genre Lasius, comme l’espèce Lasius umbratus.

  • Les Ichneumons, famille des Ichneumonidae

    Les ichneumons, ou ichneumonidae sont des insectes souvent noirs et jaunes qui rentrent parfois dans les maisons et sont coincés près des fenêtres. Sont-ils dangereux ? comment faire pour les relâcher ? Cet article vous explique leur biologie et ce qu’il faut faire si vous en trouvez un dans votre maison ou votre jardin.
    Les ichneumons sont des guêpes solitaires parasites de la famille des Ichneumonidae. Ces insectes, souvent jaunes et noirs, sont extrêmement diversifiées. Certains (…)

  • Les méloés : des coléoptères bleus parasites

    Les méloés sont des insectes de l’ordre des coléoptères, comme les scarabées et les coccinelles. L’espèce de méloé la plus courante est Meloe proscarabaeus, les femelles de cette espèce ont un abdomen énorme et sont de couleur bleu ou noir métallique. Leur thorax est très nettement séparé de leur tête et de leur abdomen, et ressemblent vaguement à de grosses guêpes ou fourmis sans ailes. Les larves de méloés sont appelées triongulins et parasitent certaines espèces d’abeilles solitaires.

  • Guêpe coucou, Chryside enflammée

    Les guêpes coucou sont des insectes parasites d’abeilles solitaires. Leurs couleurs bleues et rouges vives et métalliques sont remarquables. On leur accorde pour cette raison le surnom de chryside enflammée, qui désigne en réalité une des espèces les plus courantes de la famille des Chrysididae : Chrysis ignita.

  • Les Mutillidae ou "fourmis" de velours

    Elles ressemblent à de grosses fourmis poilues mais il n’en est rien : les mutillidae sont des guêpes solitaires chez qui seuls les mâles sont ailées.

  • L’isodonte mexicain sème la terreur chez les sauterelles

    Il ne s’agit pas d’une nouvelle forme de transport aérien pour sauterelles : l’isodonte mexicain ramène des Orthoptères paralysés dans son nid pour les jeter en pâture à ses larves affamées.

  • Quels sont les prédateurs des fourmis ?

    Voici une liste complète des plus grands prédateurs des fourmis, des oiseaux aux mammifères en passant par d’autres insectes, nous détaillons ici pourquoi et comment ces animaux mangent des fourmis.

  • Les guêpes potières ou maçonnes

    Avez-vous déjà observées de minuscules poteries accrochées sur le mur de votre maison ? C’est l’oeuvre des guêpes potières, aussi appelées guêpes maçonnes, qui construisent ces structures en terre pour y pondre leurs oeufs.

  • Les abeilles utilisent ces 6 molécules pour détecter le varroa

    Certaines abeilles ont des comportements hygiénique en réponse au parasite Varroa destructor. Des chercheuses et chercheurs français ont identifié les molécules qui permettent aux abeilles de détecter des cellules infestées de varroas.

  • Guêpes parasitoïdes de Drosophila suzukii : la lutte biologique contre les drosophiles invasives

    Des scientifiques ont récemment montré que parmi cinq espèces communes de guêpes parasitoïdes des drosophiles naturellement présentes en France, deux espèces (Trichopria cf drosophilae et Pachycrepoideus vindemmiae) sont capables de tuer Drosophila suzukii, une drosophile originaire d’asie. Ces deux petites guêpes pourraient ainsi être utilisées en lutte biologique pour contrôler cette drosophile invasive, qui est responsable de dégâts sur les fruits dans les vergers et les vignobles.

  • Les araignées rouges, acariens de la famille des Trombidiidae

    Les Trombidiidae, surnommés "acariens de velours", sont des acariens rouges utiles aux cultures grâce à leur rôle de prédateurs et parasites d’insectes nuisibles. Leur cycle de vie est complexe tout comme leur identification. Larves et adultes chassent ou parasitent des arthropodes variés, notamment des pucerons et œufs d’insectes ravageurs. Actifs de jour, ils évoluent dans le sol ou sur les plantes. Leur utilisation en lutte biologique, bien qu’encore peu étudiée, montre un potentiel prometteur pour protéger les cultures.

  • Une guêpe oblige les chênes à fabriquer des billes de bois

    Par quoi sont causées les galles que l’on peut observer sur les branches et les bourgeons des chênes ? Andricus kollari est un des hyménoptères qui pond dans les chênes et cause la formation de galles.

  • Les guêpes braconides, de petites guêpes parasites - famille des Braconidae

    La famille des Braconidae regroupe des dizaines de milliers d’espèces de petites guêpes dont la plupart sont des parasites ou parasitoïdes d’autres insectes. Voici un aperçu de leur diversité et de leur biologie.

  • Pompiles, guêpes chasseuses d’araignées

    Les pompiles sont des guêpes chasseuses d’araignées. Ces guêpes paralysent les araignées avec leur venin et les transportent jusque dans leur nid. Ces guêpes coupent souvent les pattes des araignées paralysées pour les transporter plus facilement. Elles pondent ensuite un oeuf sur chaque araignée paralysée. L’oeuf de guêpe éclot et la larve qui en sort se nourrit de l’araignée encore vivantes et paralysées.

  • L’azuré, un papillon qui parasite les fourmis et dévore leurs larves

    Les chenilles des papillons azurés (genres Phengaris ou Maculinea), comme l’Azuré du serpolet, ont un plan machiavélique, un stratagème pour infiltrer les fourmilières et dévorer les larves et réserves qui s’y trouvent.

  • La ranâtre, Ranatra linearis, une grande punaise aquatique

    La ranâtre, Ranatra linearis, est une grande punaise aquatique. Son corps étroit et allongé rappelle celui des phasmes bâtons. C’est une punaise prédatrice d’insectes et d’arthropodes aquatiques que l’on rencontre dans de nombreuses mares, étangs et bassins. Elle est souvent parasitée par des larves d’acariens aquatiques.
    La ranatre (Ranatra linearis) est une punaise aquatique de la famille des Nepidae, comme la nèpe. Il n’y a en France qu’une seule espèce du genre Ranatra. D’après le (…)

  • La larve du Clytra et les fourmis

    Photographies et mode de vie du Clytra, un insecte de l’ordre des coléoptères qui parasite les fourmis dans leur fourmilière.

  • Le Cynips du châtaignier et ses galles

    Le cynips du châtaignier est une petite guêpe solitaire du nom de Dryocosmus kuriphilus (famille des Cynips ou Cynipidae) qui pond ses oeufs dans les bourgeons des châtaigniers, ralentissant leur croissance et diminuant la production de châtaignes.
    Qui est le Cynips du châtaignier ? Comment le reconnaître ? Le cynips du châtaignier, Dryocosmus kuriphilus est un insecte de la famille des Cynipidae, comme le cynips du rosier ou le cynips du chêne par exemple. Ces insectes sont de petites (…)

  • Combien de pattes a un acarien ?

    Certains acariens sont des parasites d’insectes, les Varroa destructor par exemple se fixent sur les abeilles et se nourrissent de leur hémolymphe.

  • Les larves de syrphes mangeuses de pucerons

    Les syrphes sont de petites mouches aux couleurs de guêpes et volant souvent en sur-place au-dessus des fleurs. Leurs larves sont des prédatrices naturelles de pucerons et peuvent être utilisées en lutte biologique.

  • Lomechuses, parasites des fourmis

    Les loméchuses, coléoptères parasites, infiltrent les nids de fourmis en produisant une substance qui attire les fourmis. Ils sont ensuite nourris par les fourmis via trophallaxie et leurs larves dévorent celles des fourmis.

  • L’incroyable guêpe qui plonge pour parasiter des larves aquatiques

    Agriotypus armatus est une guêpe parasite dont la larve se développe en dévorant des larves de trichoptères aquatiques. Son cycle est compliqué, car la guêpe adulte doit être capable de repérer ses hôtes qui vivent sous l’eau, de ramper jusqu’à eux tout en évitant de se noyer et de percer le solide fourreau des larves de trichoptères pour y pondre ses oeufs. La larve de la guêpe dévore ensuite celle du trichoptère, mais se trouve face à un nouveau dilemme : comment respirer dans l’eau et remonter à la surface une fois son développement terminé ?

  • La guêpe dont la larve s’accroche aux araignées a éclos !

    Dans un autre article, Myrmecofourmis.fr vous avait présenté un étrange parasite d’araignées : une larve qui restait fixée sur le dos des araignées et se nourrissaient de leurs fluides corporels... l’adulte est maintenant éclot !

  • Guêpes parasites de fourmis

    Le genre Elasmosoma regroupe de minuscules guêpes parasites de fourmis : elles repèrent la fourmi en volant, se posent sur son abdomen et pondent leurs oeufs à l’intérieur du corps des fourmis. Les larves des guêpes dévorent les fourmis de l’intérieur.

  • Drosophila suzukii : la drosophile des vergers, une espèce invasive venue d’Asie

    La drosophile asiatique, Drosophila suzukii, est un petit moucheron invasif qui pose problème en arboriculture car les femelles pondent dans les fruits, en particulier dans le raisin. Cette mouche est aussi appelée drosophile japonaise ou à ailes tachetées.

  • Les guêpes de la famille des Torymidae, des parasites de plantes

    Les Torymidae forment une très large famille de guêpe solitaires parasites et parasitoïdes qui pondent leurs oeufs dans des plantes ou dans les larves d’autres insectes.

  • La (très) malodorante punaise verte

    Nezara viridula est appelée punaise verte ponctuée, tachetée ou punaise verte du soja. Cet insecte volant, présent dans les jardins, rentre parfois dans les maisons et appartement et dégage une odeur très désagréable. Elle est proche d’une autre espèce de punaise verte, Palomena prasina, également présentée dans cet article.

  • D’horribles vers qui parasitent les grillons, criquets et sauterelles

    Les vers de crin nématomorphes (embranchement des Nematomorpha, proche des nématodes) ne sont pas juste repoussants comme les autres vers. Ils forment un groupe de vers qui possède un cycle tout à fait répugnant : à l’état de larves, les différentes espèces parasitent une grande variété d’hôtes, dont les orthoptères (grillons, sauterelles et criquets), les coléoptères et les mantes qui s’abreuvent dans les flaques. Ils se développent par la suite en dévorant leur hôte de l’intérieur durant (…)

  • La galle du rosier : quand les insectes détournent les plantes

    Le cynips du rosier est un parasite du rosier. Cet insecte est une petite guêpe qui pond ses oeufs dans les rosiers et force la plante à former une galle dont sa larve se nourrit. Voici comment le reconnaître et s’en débarrasser.

  • Abeilles maçonnes : l’osmie cornue

    L’osmie cornue ou abeille maçonne, Osmia cornuta, est une des premières abeilles solitaires à s’activer au printemps. On peut en effet observer les osmies voler de Mars à Juin. Ces abeilles étant actives au printemps malgré des températures faibles, elles sont très importantes pour la pollinisation des premières fleurs. Elles sont donc particulièrement recherchées pour la pollinisation des arbres fruitiers précoces comme les cerisiers, les pruniers et les amandiers. D’après le Guide des (…)

  • Formicoxenus nitidulus : des petites fourmis qui squattent les nids des grosses !

    Formicoxenus nitidulus est une espèce de fourmis qui vivent en tant que parasites sociaux d’autres fourmis du genre Formica. Ces petites Myrmicinae squattent les dômes des fourmis des bois et leur volent de la nourriture. Il s’agit de la seule espèce de fourmis du genre Formicoxenus en France.

  • Le petit coléoptère de la ruche : biologie et contrôle

    Le petit coléoptère de la ruche, Aethina tumida (Nitidulidae), est un parasite de l’abeille originaire d’Afrique. Dans leurs pays d’origine, les petits coléoptères de la ruche vivent dans des colonies d’abeilles de sous-espèces Africaines et ne posent pas vraiment de problèmes. En France par contre, le petit coléoptère de la ruche est capable d’endommager les colonies d’abeilles des différentes sous-espèces européennes. Voici ce que l’on sait de sa biologie et de son contrôle.
    Comment (…)

  • Lasius fuliginosus, la fourmi citronelle

    Les Lasius fuliginosus sont de petites fourmis noires et brillantes qui dégagent une forte odeur de citronelle lorsqu’elle sont dérangées. La substance responsable de cette odeur est appelée dendrosaline. Ces fourmis forment de longues colonnes en forêt, jusqu’aux sources de nourriture qu’elles exploitent.

  • Les grillons myrmécophiles

    Les grillons du genre Myrmecophilus vivent dans les fourmilières : ce sont des parasites sociaux de certaines espèces de fourmis, qui arrivent à obtenir de la nourriture de la part de leurs hôtes.

  • Hesperomyces virescens, un champignon qui parasite la coccinelle asiatique

    Malgré sa fulgurante expansion à la suite de son introduction, la coccinelle asiatique (Harmonia axyridis) n’est pas à l’abri des parasites. Un petit champignon du nom de Hesperomyces virescens se fixe sur elle et ronge sa cuticule. Il profite de l’hiver et de la promiscuité entre les coccinelles asiatiques, venues se réchauffer dans les maisons, pour libérer ses spores et contaminer d’autres coccinelles.

  • La guêpe géante tueuse de cigales (Australie)

    Exeirus lateritius est une guêpe solitaire géante d’Australie qui est connue sous le nom de guêpe tueuse de cigales. Les femelles adultes piquent et paralysent des cigales qu’elles ramènent dans leur nid. C’est une des plus grandes guêpes du monde, elle mesure plus de 25mm.
    Exeirus lateritius est une guêpe fouisseuse australienne géante. Ce sont de grandes guêpes oranges rayées de noir. Les femelles de cette espèce creusent des nids dans le sol jusqu’à 60cm de profondeur. Les mâles se (…)

  • A suivre ! L’insecte qui dévore les araignées

    Certaines guêpes de la famille des Ichneumonidae sont capables de parasiter des araignées. Les guêpes femelles adultes se faufilent jusqu’aux araignées sur lesquelles elles pondent un oeuf, qui se développe en larve et dévore doucement l’araignée.

  • Le contrôle du varroa par piégeage sur couvain de faux-bourdon

    Le piégeage du Varroa destructor sur le couvain de faux-bourdons est une méthode naturelle pour limiter l’infestation des ruches. Retirer les cadres de mâles operculés réduit la population de varroas de 47 à 73 %, retardant les besoins de traitements chimiques. Découvrez comment l’appliquer efficacement pour protéger vos colonies !

  • Le Pou de l’Abeille : Braula coeca

    Braula coeca est une petite mouche sans ailes communément appelée "pou de l’abeille". Voici ce qu’il faut savoir sur ce parasite des abeilles, son cycle de vie et les dégâts qu’il peut occasionner.

  • Cloportes

    Comment éviter de se faire dévorer par la première araignée venue lorsque l’on fréquente des endroits aussi mal fréquentés que les souches de bois pourris ? Les cloportes ont la solution : une épaisse armure et être capables de se rouler en boule.

  • Térébrant parasite d’abeilles

    Les térébrants du genre Gasteruption sont des hyménoptères qui parasitent les abeilles solitaires grâce à leur très long ovipositeur.

  • Abeilles coucou du genre Nomada

    Les guêpes coucous du genre Nomada sont des insectes parasites d’abeilles solitaires. Elles pénètrent dans les nids de certaines abeilles qui nichent dans le sol pour y pondre leurs oeufs.

  • Les Strepsiptères, des insectes parasites extrêmement discrets

    Les Strepsiptères ou Strepsiptera forment un ordre d’insectes rares et minuscules au mode de vie très particulier. Les adultes pondent les oeufs entre les segments de l’abdomen d’autres insectes, généralement des guêpes, où ils se...

  • Acariens parasites de fourmis

    Certains acariens parasitent les fourmis. Ils se fixent sur les fourmis pour leur prélever de l’hémolymphe, le sang des insectes, ou pour se faire transporter d’un milieu à un autre. D’autres acariens se promènent aussi dans les fourmilières et mangent les restes de nourriture et les déchets de la fourmilière. Voici des photos de nombreuses espèces d’acariens vivant en relation avec les fourmis.

  • Le ténia qui rend les fourmis jaunes

    Une espèce de cestode infecte les fourmis se nourrissant sur les déjections des oiseaux et modifie leur taille et leur couleur durant le développement. En d’autres termes, le ténia Anomotaenia brevis file la jaunisse aux fourmis de l’espèce Temnothorax nylanderi...

  • Tropilaelaps, un autre acarien parasite de l’abeille

    Les Tropilaelaps sont des acariens parasites de l’abeille sociale Apis mellifera de la famille des Laelapidae. Ils sont plus petits que les varroas, mais leur couleur est similaire. Leur petite taille leur permet de se déplacer plus facilement dans la ruche et contribue à les rendre encore plus problématiques que le varroa pour les abeilles.
    D’où viennent les acariens Tropilaelaps ? Les acariens Tropilaelaps proviennent d’Asie. Ils vivent dans la nature dans les colonies d’abeilles géantes (…)

  • Les guêpes Neoneurus, des braconides parasites de fourmis

    De petites guêpes de la famille des Braconidae et du genre Neoneurus pondent leurs oeufs dans le corps des fourmis rousses. Voici ce que l’on sait de leur biologie.

  • L’hygiène chez les insectes sociaux

    Chez les insectes sociaux, l’hygiène dans les nids est très importante pour éviter les épidémies de malades bactérienneset viral ainsi que les parasites comme les champignons ou les acariens.

  • Brachymeria tibialis, une petite guêpe parasite de papillons

    Le bombyx disparate est un papillon invasif qui donne du fil à retordre à de nombreux jardiniers. Mais face à lui se dresse, du haut de ses six pattes renflées, un petit hyménoptère solitaire au corps noir et aux pattes tachées de jaune, du nom de Brachymeria tibialis. Renommé ainsi récemment, il s’appellait auparavant Brachymeria intermedia.

  • Comment une petite guêpe peut éliminer les pucerons sur vos plantes

    Il existe de minuscules guêpes solitaire qui pourraient bien vous faciliter le travail au jardin : elles pondent leurs oeufs dans les pucerons et sont un moyen efficace de lutter contre les pucerons sans insecticides ni autres produits chimiques !

  • Raid de fourmis esclavagistes Polyergus rufescens

    Découvrez comment les fourmis esclavagistes ou fourmis amazones de l’espèces Polyergus rufescens réduisent d’autres fourmis en esclavage. Ces fourmis infiltrent les autres fourmilières et pillent leur couvain, une fois que les cocons capturés éclosent, les fourmis qui en sortent sont réduites en esclavage et prennent soin de leurs hôtes comme si elles appartenaient à la même espèce.

  • Le champignon qui imite les oeufs de termites

    Une curieuse espèce de champignon parasite de termites forme des boules de filaments rondes et s’infiltre dans les nids de termites. Les termites prennent soin du champignon resemblant à un de leurs oeufs. Voici comment se passe cet étrange mimétisme.

  • Les pucerons cendrés des choux

    Les feuilles de vos choux se replient et vous observez de petits insectes blancs ou verts à l’aspect cireux sous vos feuilles de choux ? C’est peut-être le puceron cendré du choux, Brevicoryne brassicae, en train de fonder une famille dans votre potager.

  • Une larve de mouche en forme de limace qui se nourrit d’oeufs de fourmis

    Les microdons sont des syrphes (mouches) dont les larves, en forme de limaces, sont des parasites sociaux de différentes espèces de fourmis. Les larves de Microdon dévorent en effet celles de leurs fourmis hôtes.

  • La guêpe à galles du chêne

    Introduction à la biologie de la guêpe à galles du chêne Cynips quercusfolii illustrée par des macrophotographies de la galle et de ce parasite sur la plante hôte.

  • Pourquoi ces lézards ont-ils une poche pleine d’acariens ?

    Que sont les poches à acariens ou acarodomaties que portent certains lézards et geckos ? Comment les scientifiques essaient-ils d’expliquer leur existence ?

  • Les Bothriomyrmex : des parasites temporaires d’autres fourmis

    Le genre Bothriomyrmex regroupe des espèces de fourmis parasites temporaires de fourmis du genre Tapinoma. La reine des Bothriomyrmex s’infiltre chez les Tapinoma et remplace leur reine.

  • Ces abeilles naturellement résistantes au Varroa destructor

    Certaines colonies d’abeilles sont naturellement résistantes à Varroa destructor, un acarien parasite de l’abeille. Des recherches récentes nous en disent plus sur les mécanismes qui permettent à ces abeilles de limiter le développement des varroas.

  • De quoi se nourrit Varroa destructor ? du foie des abeilles, pas de leur sang

    Le Varroa destructor ne se nourrit pas du "sang" ou hémolymphe des abeilles comme one le croyait avant. La réalité est bien plus problématique. Dans cet article, nous décrivons en détail le comportement de cet acarien parasite des abeilles.

  • Mylabris variabilis, le Mylabre inconstant

    Le mylabre inconstant, ou Mylabris variabilis, est un coléoptère au corps noir rayé de vives bandes rouges ou oranges. On peut le voir en été sur les fleurs ou sur le sol. Les larves des mylabres inconstants sont parasites.

  • Fourmis voleuses : Solenopsis fugax

    Les Solenopsis fugax, ou fourmis voleuses, sont de minuscules fourmis jaunes qui profitent de leur très petite taille pour s’infiltrer dans les nids de fourmis plus grosses et voler leurs larves ou leur nourriture. Voici un résumé de leur biologie.

  • La guêpe parasite qui transforme les coccinelles en gardes du corps

    Une petite guêpe parasite de l’espèce Dinocampus coccinellae pond ses oeufs dans des coccinelles adultes. Ses larves grandissent dans les coccinelles, en sortent et changent le comportement de la coccinelle qui se met à protéger le cocon de son parasite.

  • Les Homatolytus : des guêpes parasitoïdes de larves de coccinelles

    Les Homalotylus sont d’étranges hyménoptères aux grands yeux qui parasitent les larves de coccinelles.

  • Comment se développent les différentes castes chez les fourmis ?

    Pourquoi peut-on observer, dans une même fourmilière, des mâles, des princesses ailées, et des ouvrières de plusieurs tailles différentes ? Comment cette diversité de castes apparaît-elle dans une fourmilière ?

  • Les Conopidae, des mouches à taille de guêpe

    La famille des Conopidae regroupe des mouches pouvant ressembler de loin à certaines guêpes. Leur abdomen est étroit et leurs couleurs vives sont similaires à celles de nombreux hyménoptères.
    Les mouches de la famille des Conopidae ont un mode de vie plutôt original : les femelles pondent leurs oeufs dans les abdomens de certains hyménoptères lorsqu’ils butinent les fleurs. Ces mouches parasitent de nombreux hyménoptères comme les bourdons. Sicus ferrugineus que l’on voit sur les photos (…)

  • Brachylecithum mosquensis : quand un ver prend le contrôle d’une fourmi

    Pour un ver parasite d’escargot, arriver à atteindre son hôte final est difficile quand ce dernier est un oiseau. Le petit trématode Brachylecithum mosquensis s’infiltre donc dans les fourmis afin de faciliter cette transmission du mollusque à l’oiseau.

  • Une guêpe sans aile infiltre les colonies de minuscules fourmis

    Même les plus petites des Fourmis que l’on peut trouver en France sont parasitées par de minuscules guêpes. Ces dernières s’infiltreraient dans leur nid pour y passer l’hiver et s’y abriter...

  • Methocha articulata

    Les guêpes solitaires du genre Methocha sont un peu particulières : les femelles ne possèdent pas d’ailes, et se jettent dans les pièges des féroces larves insectivores de cicindèles avant de leur échapper et de les tuer pour nourrir leurs larves.

  • Reines parasites, fourmis à fondation dépendante Chtonolasius

    Les reines fourmis du sous-genre Chtonolasius sont dites à "fondation dépendante". Cela signifie qu’elles doivent s’introduire dans une colonie de fourmis déjà existante et tuer la reine en place pour la remplacer si elles veulent fonder leur propre colonie. On différencie facilement les reines de Chtonolasius des autres Lasius par leur tête aussi large que leur thorax.

  • Les Strongylognathus, des fourmis qui parasitent d’autres fourmis

    Les Strongylognathus sont des fourmis parasites ou inquilines de fourmis du genre Tetramorium. Elles font des raids et esclavagisent ces dernières, ou se contentent de squatter leurs fourmillières...

  • Comment lutter contre le moustique tigre ?

    Que faire contre le moustique tigre ? ce moustique a envahit l’Europe et est actif même durant les chaudes journées d’été, il peut ruiner une après-midi en terrasse ou dans le jardin. Voici comment lutter efficacement contre les moustiques tigres.

  • La Chytridiomycose, un champignon qui décime les amphibiens

    La chitridiomycose est une malade des amphibiens qui affecte les grenouilles, tritons, crapauds et salamandres. Voici ce que l’on sait du champignon responsable de cette maladie et de ses effets sur les amphibiens dans le monde.

  • Mouches tueuses de fourmis

    Les Phoridae sont de petites mouches capables de parasiter et de tuer les fourmis. Elles pondent en effet leurs oeufs dans les fourmis.