Vie en société

Tous les insectes ne sont pas solitaires. Nombreux sont ceux qui vivent durant une certaine période avec leurs descendants (comme les perce-oreilles), qui partagent une souche d’arbre avec d’autres individus de leur espèces (les cafards, et de nombreux arthropodes comme les cloportes) et certains ne peuvent même survivre qu’en société, comme les termites, les fourmis ou les abeilles sociales.

Les articles listés ci-dessous illustrent ces différents niveaux de socialité.


  • Les fourmis Dracula : le genre Mystrium

    Les fourmis Dracula appartiennent au genre Mystrium, ces fourmis percent la peau de leurs propres larves pour se nourrir de leur hémolymphes. Voici la biologie de ces étranges fourmis tropicales.

  • Fourmilière de Tetramorium dérangée

    Les Tetramorium sont des petites fourmis noires très communes dans les jardins et dans les villes. Au printemps, elles construisent de petits monticules de terre pour stocker la chaleur du soleil et permettre à leurs larves de se développer plus rapidement.

  • Ponte chez les fourmis Lasius emarginatus

    Il est souvent difficile d’observer les pontes des fourmis dans la nature. Lorsque l’on soulève une pierre, les gros cocons ne sont pas des oeufs de fourmis ! Ces derniers sont minuscules et à peine visibles à l’oeil nu.

  • Des fourmis forment des chaines vivantes pour ramener les grosses proies au nid

    Dans une vidéo publiée il y a peu de temps sur le net, on peut voir des fourmis formant une chaine vivante pour ramener d’énormes proies jusqu’à leur nid. Un comportement aussi surprenant que méconnu !

  • Toilettes chez les fourmis : l’hygiène ou la flemme ?

    Certaines fourmis utiliseraient un espace de leur nid en tant que toilettes. Mais la raison pour laquelle elles ne sortent pas faire leurs besoins à l’extérieur du nid n’est pas encore éclaircie. Voilà ce que l’on sait :

  • Aphaenogaster subterranea

    Aphaenogaster subterranea est une espèce de fourmi de couleur rouge à orange pâle qui vit principalement dans les forêts, dans des nids sous-terrains. Elles chassent parfois dans la litière des forêts mais s’aventurent rarement en plein air.

  • La communication chez les fourmis : indiquer le chemin aux membres de la colonie

    Comment les fourmis communiquent-elles l’emplacement d’une source de nourriture, ou d’un nouveau nid, aux membres de leurs colonies ? Toutes les espèces n’utilisent pas la même forme de communication ! Du tandem-running aux pistes de phéromones, voici ce qu’il faut retenir...

  • Des fourmis des bords de rivières utilisent leurs larves comme bouées

    Pour une fourmi, vivre au bord des rivières signifie aussi prendre le risque de voir sa fourmilière finir sous les eaux. Mieux vaut alors avoir un bon gilet de sauvetage... ou des larves en forme de bouée !

  • Les Strongylognathus, des fourmis qui parasitent d’autres fourmis

    Les Strongylognathus sont des fourmis parasites ou inquilines de fourmis du genre Tetramorium. Elles font des raids et esclavagisent ces dernières, ou se contentent de squatter leurs fourmillières...

  • Le Monde : "Polistes fuscatus", une guêpe très physionomiste

    Les découvertes en écologie et biologie d’un groupe de chercheur ont mis en évidence la reconnaissance entre individus sur des critères physiques entre des guêpes polistes, aussi appelées guêpes à papier, d’une même colonie. Ainsi, une guêpe de l’espèce Polistes fuscatus reconnait le "visage" d’une de ses soeurs ! Pas si étonnant, car ces guêpes ont sur leurs visages des tâches noires clairement délimitées et relativement variables qui leur permettent probablement d’apprendre à se (...)