Insectes des jardins

Nos jardins sont remplis d’insectes très diversifiés. Qu’ils se trouvent parmi les fleurs ou au beau milieu du potager, une chose est sure : ils sont nombreux. Des fourmis qui grouillent sous terre aux papillons qui virevoltent d’une fleur à l’autre, ils ne sont pas sans conséquences sur la vie de nos plantes. Prédateurs et pollinisateurs ou phytophages, auxiliaires ou "ennemis", autochtones ou invasifs, ils vivent dans notre gazon et participent à la beauté du jardin, ou aux trous dans les feuilles de nos arbres fruitiers et des buissons de nos haies… mieux vaut donc les connaitre avant de vouloir les chasser à coups de râteaux ! Voici les articles de myrmecofourmis.fr qui parlent de ces petites bestioles omniprésentes dans nos potagers, pelouses et autres massifs fleuris.


  • Les acariens de compost : Uroobovella

    On rencontre parfois de petits acariens bruns et rouges dans le composte et les lombricomposteurs. Qui sont-ils et faut-il s’en débarrasser ? Voici ce que l’on sait de ces acariens.

  • Guêpes parasitoïdes de Drosophila suzukii : la lutte biologique contre les drosophiles invasives

    Des scientifiques ont récemment montré que parmi cinq espèces communes de guêpes parasitoïdes des drosophiles naturellement présentes en France, deux espèces (Trichopria cf drosophilae et Pachycrepoideus vindemmiae) sont capables de tuer Drosophila suzukii, une drosophile originaire d’asie. Ces deux petites guêpes pourraient ainsi être utilisées en lutte biologique pour contrôler cette drosophile invasive, qui est responsable de dégâts sur les fruits dans les vergers et les vignobles.

  • Guêpes polistes ou guêpes à papier

    Les guêpes polistes ou guêpes à papier sont une sous-famille de guêpes très communes en France. On les trouve souvent dans les jardins, dans les boîtes aux lettres, et dans les maisons sous les charpentes et les toits. Ces jolies guêpes forment de très petites colonies et ne posent que rarement problème. Voici comment identifier et se débarrasser de ces guêpes si nécessaire.

  • La (très) malodorante punaise verte

    Nezara viridula est appelée punaise verte ponctuée, tachetée ou punaise verte du soja. Cet insecte volant, présent dans les jardins, rentre parfois dans les maisons et appartement et dégage une odeur très désagréable. Elle est proche d’une autre espèce de punaise verte, Palomena prasina, également présentée dans cet article.

  • La punaise arlequin, Graphosoma italicum

    La punaise arlequin, avec son corps rouge à rayures noires, se promène dès qu’il fait beau sur les grandes ombelles blanches des fleurs de carottes et autres apiacées. Ces punaises sont en latin des Graphosoma italicum ou Graphosoma semipunctatum, et les couleurs vives ces punaises sont un avertissement.

  • La cétoine grise est-elle de funeste présage ?

    La cétoine grise ou "drap mortuaire" appartient à l’espèce Oxythyrea funesta. C’est une des cétoines les plus communes dans les fleurs de nos jardins. En voici un peu plus sur l’écologie et la biologie de cet insecte aux couleurs ternes.

  • La chenille processionnaire du pin

    Quel est le cycle de vie de la chenille processionnaire du pin ? Quels sont les pièges mécaniques ou chimiques (à phéromones) efficaces ? Comment détruire les nids du jardin en toute sécurité ? Quels sont les dangers pour l’Homme, et les animaux de compagnie comme les chiens et les chevaux ? Voici les questions qui trouvent leurs réponses dans cet article sur les chenilles processionnaires du pin.

  • Fourmis granivores : le genre Messor

    Si certaines fourmis du genre Messor ont la grosse tête, ce n’est que pour casser des graines ! Ces fourmis pourraient bien vous empêcher de semer votre gazon. Les fourmis dites moissonneuses ou granivores sont des fourmis qui se nourrissent principalement de graines de plantes. En Europe, elles sont principalement représentées par le genre Messor, et par les espèces Messor barbarus, Messor capitatus, Messor minor, Messor structor, Messor wasmanni,...

  • Pourquoi les abeilles boivent l’eau des piscines ?

    Pourquoi les abeilles boivent-elles l’eau des piscines Les abeilles ont des besoins en eau importants et elles s’abreuvent donc aussi sur d’autres sources d’eau que le nectar des fleurs ou le miellat pucerons. L’eau sert à contrôler la température de la ruche, en effet les abeilles peuvent refroidir la ruche en y ramenant de l’eau qu’elles étalent sur les surfaces ou portent entre leurs mandibules, pendant qu’à l’entrée de la ruche d’autres ouvrières ventilent. Le courant d’air créé (...)

  • Une mouche trait les pucerons, sa larve les dévore

    Elle pourrait bien être utilisée en agriculture : les mouches du genre Leucopis traient les pucerons, ce qui évite la propagation de la fumagine, tout en évitant les fourmis, tandis que leurs larves dévorent les pucerons...